Myria Idha, Officium & Saint-Georges
Dreamachine dévoile le dernier lineup de sa saison en résidence à Montévidéo dans son illustre cour pavée (scène extérieure) avec un concert et deux DJ aux sélections affutées pour célébrer ce premier jour de l'été !
Myria Idha est une artiste au multiple facette de la scène phocéenne. Résidente LYL Radio et fière de sa multiculturalité, @myriaidha donne carte blanche à un.e artiste indonésien.ne dans son show « Warung ».
C’est par le prisme de l’émotion qu’elle construit son univers et sa compréhension de la musique, composant des sets tel des balades sonores entre nappes angéliques et rythmes déconstruits, entre paradoxe et dualité des genres. Du dubs marécageux, rituels leftields et bass intrépide à du mental wave, cela dépendra de son humeur..
Saint-Georges est un groupe de musique électronique et expérimentale originaire d'Auvergne. Il est formé au début des années 2020 par le chanteur Jean Yann (voix, clavier) et le compositeur Renee Cappadoce (guitare, cuivres), leurs influences vont aussi bien de la musique médiévale à la folk, qu'à la wave ou la musique alternative. Ces influences se retrouvent mélées à des sonorités dub-techno, jackbeat ou downtempo lors de ses dj sets où la dance est toujours au rendez-vous.
Officium n'est pas seulement un talentueux multi-instrumentiste et un explorateur de musique.
Il est également un artiste graphique attrayant.
Quelle formidable opportunité pour nous de diffuser toute sa gamme d'expressions !
Après avoir exploré un territoire et joué de nombreux concerts, voici le premier album, comme un manifeste du multi-instrumentiste et artiste dédié à l'expérimentation : Alban Mercier.
Après plusieurs années de voyages, de recherches et de gravures des matériaux et des influences, Alban est un mouvement perpétuel, une quête sans fin loin de toutes les frontières ou les clôtures des genres.
Cet artiste multi-talentueux fusionne dans ce long métrage bon nombre de ses influences allant de la musique rituelle chuchotée et des mythes des communautés autochtones d'Extrême-Orient aux sonorités et rythmes dub industriels des premiers temps, tels que Scorn pourrait produire s'il produisait encore.